
Pourquoi voulez-vous enfermer,
ahem… pardon, « contrôler »,
votre mental ?
Que redoutez-vous qu’il se produise si vous le libériez ? Ou plutôt, qui redoutez-vous ? Mais attendez, j’ai encore mieux : QUI redoute ?
Ce ne sont là, bien évidemment, pas des questions réthoriques.